Vous souhaitez maximiser vos revenus issus de la vente d’électricité solaire ? Ne laissez pas la complexité fiscale vous freiner ! Découvrez les clés pour naviguer dans les régimes d’imposition et profiter pleinement des avantages fiscaux liés à votre installation photovoltaïque.
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Fiscalité sur la Vente d’Électricité Solaire
La fiscalité applicable à la vente d’électricité solaire dépend de plusieurs facteurs, notamment le statut fiscal du producteur, la puissance de l’installation et le chiffre d’affaires généré. Les revenus provenant de la vente d’électricité doivent être déclarés comme des revenus non commerciaux, mais des exonérations sont possibles si certaines conditions sont respectées, comme une puissance de l’installation inférieure ou égale à 3 kWc et un raccordement limité. En l’absence d’exonération, les producteurs peuvent opter pour le régime des micro-entreprises ou le régime réel avec une comptabilité détaillée. Les revenus doivent être reportés sur la déclaration des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC).
Dans le contexte actuel de transition énergétique, la vente d’électricité solaire se développe rapidement, offrant aux particuliers et aux entreprises une opportunité de revenus passifs. Cependant, la question de la fiscalité liée à cette activité mérite une attention particulière, car elle varie en fonction de plusieurs critères, tels que le statut fiscal du producteur et la puissance de l’installation. Il est donc essentiel de comprendre les régimes fiscaux aplicables afin de tirer pleinement parti des avantages offerts par l’énergie solaire, tout en restant en conformité avec la législation en vigueur.
Installer des panneaux photovoltaïques pour revendre le surplus d’électricité généré peut être une source de revenus intéressante. Cependant, il est essentiel de comprendre la fiscalité applicable à la vente d’électricité solaire. Cet article met en lumière les aspects fiscaux liés à cette activité, en évoquant les avantages et les inconvénients qui y sont associés.
Avantages
Un des principaux avantages liés à la vente d’électricité solaire réside dans les possibilités d’exonération fiscale. En effet, si la puissance de l’installation est inférieure ou égale à 3 kWc, et si certaines conditions sont respectées – par exemple, une production non affectée à une activité professionnelle – les revenus générés peuvent être exonérés d’impôt. Cela permet aux producteurs d’optimiser leurs gains sans être alourdis par un impôt.
De plus, pour ceux qui ne bénéficient pas de l’exonération, le régime de la micro-entreprise peut être avantageux. En effet, ce régime propose un abattement de 71 % sur les revenus déclarés, permettant de ne payer des impôts que sur une partie de ces revenus. Ce système simplifie également les démarches administratives liées à la comptabilité.
Des choix d’imposition adaptés
Les producteurs peuvent également opter pour le régime réel si leurs revenus dépassent le plafond de la micro-entreprise. Ce régime permet une déduction des charges et des amortissements, offrant ainsi la possibilité de récupérer la TVA sur l’investissement initial. Pour ceux ayant des revenus élevés, cela peut constituer un moyen efficace de réduire le montant de l’impôt à payer.
Inconvénients
Malgré ces avantages, la fiscalité relative à la vente d’électricité solaire présente également des inconvénients. Pour les installations dépassant 3 kWc ou ne répondant pas aux conditions d’exonération, les revenus doivent être déclarés comme bénéfices industriels et commerciaux (BIC), ce qui implique une formalité administrative plus lourde.
En outre, les modalités d’imposition peuvent varier significativement selon le statut du producteur. Les entrepreneurs et sociétés peuvent se retrouver soumis à des taux d’imposition élevés, particulièrement sur les tranches de chiffre d’affaires dépassant certains seuils. Cela représente une charge fiscale importante, surtout pour les jeunes entreprises cherchant à se lancer dans le photovoltaïque.
Complexité des déclarations fiscales
La nécessité de conserver des justificatifs comme les relevés de production et les factures d’achat d’électricité peut également s’avérer contraignante. La comparaison des options fiscales disponibles nécessite une connaissance approfondie des réglementations en vigueur, et il est souvent recommandé de faire appel à des conseillers fiscaux ou à des experts-comptables pour éviter des erreurs pouvant mener à de coûteux redressements fiscaux.
Enfin, il est important de garder à l’esprit que même si des exonérations existent, beaucoup d’aspects fiscaux, tels que la taxe foncière et les contributions économiques, peuvent toujours s’appliquer, augmentant ainsi le coût global de votre activité solaire.
Lorsque vous décidez d’installer des panneaux photovoltaïques pour produire et vendre de l’électricité, il est essentiel de comprendre les implications fiscales de cette activité. La fiscalité applicable dépendra principalement de votre statut fiscal, du chiffre d’affaires généré et de la puissance de votre installation. Cet article vous guide à travers les différentes règles en vigueur concernant la vente d’électricité solaire en 2025.
Revenus issus de la vente d’électricité : faut-il les déclarer ?
Les revenus générés par la vente de votre électricité à EDF OA ou à d’autres opérateurs sont considérés comme des revenus non commerciaux et doivent être déclarés. Cependant, il existe certaines exonérations sous conditions. En effet, si votre installation a une puissance inférieure ou égale à 3 kWc, si elle est raccordée sur un maximum de deux points de livraison, et si la production n’est pas destinée à une activité professionnelle, vous pouvez être exonéré d’impôts sur ces revenus.
Quel régime fiscal appliquer si vous n’êtes pas exonéré ?
Si votre installation dépasse 3 kWc ou ne respecte pas les conditions d’exonération, vous serez soumis à un régime fiscal spécifique, tel que le régime des micro-entreprises. Ce régime s’applique si vos revenus sont inférieurs à 77 700 € par an, avec un abattement forfaitaire de 71%. Pour les revenus supérieurs, ou si vous choisissez cette option, vous devrez opter pour le régime réel, qui nécessite une comptabilité détaillée.
Comment déclarer vos revenus solaires ?
Les revenus tirés de votre activité doivent être reportés sur la déclaration complémentaire de revenus (formulaire 2042 C PRO) dans la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Il est important de se rappeler que les revenus du surplus vendu sont généralement imposables, sauf si vous bénéficiez d’une exonération. En tant que contribuable sous le régime Micro-BIC, l’abattement de 71 % s’applique et permet de réduire la base imposable.
Conseils importants
N’oubliez pas de conserver tous vos relevés de production et factures d’achat d’électricité pour faciliter vos déclarations fiscales. En cas de doute sur les obligations fiscales qui vous incombent, il est judicieux de consulter un conseiller fiscal ou un expert-comptable spécialisé dans les énergies renouvelables.
Pour plus d’informations détaillées sur les règles fiscales concernant la vente d’électricité solaire, vous pouvez consulter les ressources suivantes : Synthèse selon le statut fiscal du producteur, Fiscalité photovoltaïque, Vente de surplus, production photovoltaïque, taxes et impôts.

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La vente d’électricité solaire peut présenter des opportunités intéressantes pour les producteurs d’énergie renouvelable. Cependant, il est crucial de bien comprendre la fiscalité qui s’applique à cette activité. Selon le statut du producteur, le chiffre d’affaires et la puissance de l’installation, différentes obligations fiscales peuvent s’imposer.
Les revenus issus de la vente d’électricité
Les revenus générés par la vente de votre électricité à EDF OA ou à d’autres opérateurs sont considérés comme des revenus non commerciaux et doivent être déclarés. Toutefois, il existe certaines conditions d’exonération à prendre en compte.
Conditions d’exonération d’impôt
Pour ne pas être imposé, il faut respecter les conditions suivantes :
- Puissance de l’installation ne dépassant pas 3 kWc
- Raccordement sur maximum deux points de livraison
- Production non affectée à une activité professionnelle
Si vous remplissez ces conditions, vos revenus de vente d’électricité peuvent être exonérés d’impôts.
Régime fiscal applicable
Si votre installation dépasse 3 kWc ou si elle ne satisfait pas aux critères d’exonération, vous devrez opter pour le régime des micro-entreprises. Ce régime présente deux choix :
- Micro-BIC : pour des revenus inférieurs à 77 700 €/an avec un abattement forfaitaire de 71 %.
- Régime réel : s’appliquant pour des revenus supérieurs, demandant une comptabilité détaillée.
Déclaration des revenus solaires
Il est nécessaire de reporter vos revenus sur la déclaration complémentaire de revenus, à l’aide du formulaire 2042 C PRO, sous la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC).
À retenir
Il est important de se rappeler que :
- Les revenus du surplus vendu sont imposables, sauf exonération.
- Un abattement de 71 % s’applique sous le régime Micro-BIC.
- Conservez vos relevés de production et factures d’achat d’électricité.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter des ressources spécialisées sur la fiscalité de la revente d’électricité photovoltaïque, ou sur l’autoconsommation et la fiscalité. Des conseils d’experts peuvent également être précieux, comme en témoigne ce guide utile.
| Statut fiscal | Détails fiscaux |
|---|---|
| Particulier | Non imposable si installation ≤ 3 kWc, sinon choix entre Micro-Entreprise ou Régime réel. |
| Copropriété | Aucune exonération, chaque copropriétaire déclare selon sa quote-part. |
| Acteur public | Imposition par l’IS sur les revenus photovoltaïques. |
| Entreprise/Société | Taux normal de 28% jusqu’à 500 000 €, taux réduit de 15% pour 38 120 € sur conditions. |
| Exploitant agricole | Intégration des recettes dans le bénéfice agricole jusqu’à 100 000 €. |
| Exonérations | Exonération possible jusqu’à 9 kWc, conditions spécifiques à respecter. |
| Déclaration | Formulaire 2042 C PRO pour les revenus sous BIC. |
| Micro-BIC | Abattement de 71% pour les revenus inférieurs à 77 700 €. |
| Revenus imposables | Les revenus du surplus vendu sont imposables, sauf exonération. |

La production et la vente d’électricité solaire peuvent constituer une source de revenus significative. Cependant, il est essentiel de comprendre les obligations fiscales qui en découlent. Les régimes fiscaux varient en fonction de plusieurs critères, notamment le statut du producteur, la puissance de l’installation et le chiffre d’affaires généré. Cet article vous propose un aperçu des règles fiscales applicables à la vente d’électricité solaire.
Les revenus issus de la vente d’électricité : faut-il les déclarer ?
Les revenus générés par la vente d’électricité à EDF OA ou à d’autres opérateurs sont qualifiés de revenus non commerciaux et doivent donc être déclarés. Toutefois, certaines exonérations peuvent s’appliquer sous conditions. Pour être exonéré d’impôts, l’installation doit respecter les critères suivants :
- Puissance de l’installation ≤ 3 kWc
- Raccordement sur un maximum de deux points de livraison
- Production non affectée à une activité professionnelle
Quel régime fiscal appliquer si vous n’êtes pas exonéré ?
Si votre installation dépasse 3 kWc ou ne respecte pas les conditions d’exonération, vous devez choisir un régime fiscal adapté. Dans la plupart des cas, vous relèverez du régime des micro-entreprises. Voici les options qui s’offrent à vous :
- Micro-BIC : applicable si vos revenus sont inférieurs à 77 700 €/an, avec un abattement forfaitaire de 71 %.
- Régime réel : pour des revenus supérieurs à ce seuil ou sur option, il exige une comptabilité détaillée.
Comment déclarer vos revenus solaires ?
Les revenus générés par la vente d’électricité doivent être reportés dans votre déclaration complémentaire de revenus, en utilisant le formulaire 2042 C PRO. Ils doivent être classés dans la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Il est crucial de garder une trace de votre production et des factures d’achat d’électricité pour faciliter cette déclaration.
À retenir
En résumé, les revenus engendrés par la vente de surplus d’électricité solaire sont généralement imposables, sauf si les conditions d’exonération sont remplies. Si vous relevez du régime Micro-BIC, un abattement de 71 % s’applique. Pour toute question ou doute, il est recommandé de consulter un conseiller fiscal ou un expert-comptable spécialisé dans les énergies renouvelables.
Pour plus de détails concernant la fiscalité de la vente d’électricité solaire, vous pouvez consulter ce lien : fiscalité de la vente d’électricité solaire.
Vous êtes producteur d’électricité solaire et vous vous interrogez sur la fiscalité appliquée à vos revenus ? Ne laissez pas le flou fiscal freiner votre projet ! Découvrez les dispositions fiscales avantageuses qui vous permettent d’optimiser vos gains.
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Quelle fiscalité pour la vente d’électricité solaire ?
Jean, producteur photovoltaïque : « Lorsque j’ai décidé d’installer des panneaux solaires, je ne savais pas à quoi m’attendre en matière fiscale. Dès que ma production a commencé, j’ai réalisé que je devais déclarer mes revenus issus de la vente d’électricité. Heureusement, mon installation faisait moins de 3 kWc, donc j’ai pu bénéficier d’une exonération d’impôt. Cela m’a permis de réinvestir ces revenus dans l’entretien de mes panneaux. »
Marie, exploitante agricole : « Pour moi, la vente d’électricité est une source de revenus supplémentaire. Cependant, mon installation dépasse les 3 kWc. J’ai opté pour le régime réel qui me permet de déduire mes charges. Cela nécessite une comptabilité un peu plus rigoureuse, mais je pense que cela vaut le coup. Les relevés et factures sont essentiels pour justifier mes gains. »
Philippe, entrepreneur : « Ayant un statut d’entreprise, j’étais un peu perdu au départ concernant la fiscalité applicable à ma production d’énergie solaire. J’ai découvert que j’étais redevable de l’impôt sur les sociétés pour mes revenus photovoltaïques. Les taux sont assez variables, donc j’ai dû bien m’informer pour optimiser ma situation fiscale. L’investissement dans des panneaux solaires est rentable, à condition de bien comprendre les implications fiscales. »
Sophie, copropriétaire dans un immeuble : « Nous avons installé des panneaux solaires collectivement avec les autres copropriétaires, mais cela a soulevé des questions. Chaque copropriétaire doit déclarer selon sa quote-part, ce qui complique un peu les choses. Malheureusement, nous ne pouvons pas bénéficier d’exonération individuelle. Il est vital d’être bien informés et de consulter un expert pour éviter les erreurs. »
Lucas, conseiller fiscal : « Dans mon travail, je rencontre souvent des clients qui investissent dans le solaire. Ce que je leur explique, c’est que la fiscalité peut varier considérablement selon la puissance de l’installation et le statut de l’exploitant. Souvent, ceux qui débutent sont surpris par les diverses exonérations possibles. Je conseille de toujours garder une trace des factures et des relevés de production pour faciliter les déclarations. »
La production et la vente d’électricité issue de panneaux photovoltaïques engendrent des questions fiscales importantes pour les producteurs. Ce guide examine la fiscalité applicable en 2025, les conditions d’exonération, les régimes fiscaux possibles selon la puissance des installations ainsi que les démarches à suivre pour la déclaration des revenus générés par cette activité.
1. Revenus issus de la vente d’électricité : déclaration et exonération
Lorsque vous vendez de l’électricité à EDF OA ou à d’autres opérateurs, les revenus générés sont considérés comme des revenus non commerciaux. Cependant, il existe des conditions d’exonération fiscales pour alléger cette charge.
Conditions d’exonération
Pour bénéficier d’une exonération d’impôt sur ces revenus, vous devez répondre aux critères suivants :
- Puissance de l’installation inférieure ou égale à 3 kWc.
- Raccordement sur maximum deux points de livraison.
- La production ne doit pas être affectée à une activité professionnelle.
Si vous remplissez ces conditions, vos revenus de vente d’électricité peuvent être exonérés d’impôts. Il est donc crucial de vérifier votre situation avant de procéder à la déclaration.
2. Régime fiscal applicable si non exonéré
Si votre installation photovoltaïque dépasse les 3 kWc ou ne respecte pas les critères d’exonération, vous devrez vous soumettre à l’un des régimes fiscaux suivants :
Micro-BIC
Le régime de la micro-entreprise s’applique lorsque vos revenus n’excèdent pas 77 700 € par an. Dans ce cas, vous bénéficiez d’un abattement forfaitaire de 71 % sur vos recettes, ce qui réduit votre revenu imposable.
Régime réel
Pour les revenus supérieurs à 77 700 € ou si vous choisissez cette option, vous devrez opter pour le régime réel. Cette option nécessite une comptabilité détaillée, ce qui implique un suivi rigoureux de toutes vos dépenses et recettes liées à votre activité de production d’électricité.
3. Déclaration des revenus solaires
Pour déclarer vos revenus solaires, il est nécessaire de les reporter sur la déclaration complémentaire de revenus, en utilisant le formulaire 2042 C PRO. Ces revenus doivent être classés dans la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC).
À retenir pour la déclaration
- Les revenus tirés de la vente du surplus sont imposables à moins que vous ne bénéficiez d’une exonération.
- Si vous êtes dans le cadre du régime Micro-BIC, un abattement de 71 % s’appliquera.
- Il est conseillé de conserver vos relevés de production et les factures d’achat d’électricité pour justifier vos déclarations.
4. Conseils pratiques
Étant donné les particularités de la législation fiscale en matière d’énergie renouvelable, il est fortement recommandé de consulter un conseiller fiscal ou un expert-comptable spécialisé dans ce domaine. Ces professionnels peuvent vous orienter sur les meilleures pratiques à suivre pour optimiser votre situation fiscale.
Il est également conseillé de se tenir informé des évolutions réglementaires concernant la fiscalité des énergies renouvelables, car ces règles sont susceptibles de changer et peuvent avoir un impact significatif sur votre rentabilité. Disposer d’informations à jour est essentiel pour une gestion efficace de votre production d’électricité solaire.

Fiscalité pour la vente d’électricité solaire
| Critère | Informations |
|---|---|
| Puissance de l’installation | Inférieure ou égale à 3 kWc : exonération d’impôt |
| Conditions de déclaration | Raccordement sur maximum deux points de livraison |
| Type de revenus | Revenus non commerciaux |
| Régime fiscal pour > 3 kWc | Régime des micro-entreprises (Micro-BIC) |
| Abattement Micro-BIC | 71 % sur les revenus |
| Déclaration des revenus | Déclaration complémentaire (formulaire 2042 C PRO) |
| Exonération d’impôt | Seulement si conditions remplies |
| Conservation des documents | Factures et relevés de production doivent être gardés |
Fiscalité de la vente d’électricité solaire
| Type d’installation | Fiscalité applicable |
|---|---|
| Installation ≤ 3 kWc | Exonération d’impôt sur les revenus |
| Installation > 3 kWc (sans exonération) | Régime des micro-entreprises avec abattement de 71 % |
| Raccordement à plusieurs points de livraison | Imposition des revenus, même si puissance |
| Exploitation agricole | Intègre les recettes au bénéfice agricole si inférieur à 100 000 € |
| Vente à EDF OA | Revenus considérés comme non commerciaux |
| Régime Réel | Pour des revenus supérieurs et nécessité d’une comptabilité détaillée |
| Autoconsommation majoritaire | Exonération IFER si |
| Taxe foncière (TFPB) | Exonération sur panneaux, éléments imposables selon locaux techniques |
| Contribution Économique Territoriale (CET) | Exonération jusqu’à 9 kWc, en fonction du chiffre d’affaires |
Quelle fiscalité pour la vente d’électricité solaire ?
La fiscalité sur la vente d’électricité produite à partir de panneaux photovoltaïques est un enjeu crucial pour les producteurs, qu’ils soient particuliers, entreprises ou exploitants agricoles. Le statut fiscal choisi par le producteur détermine grandement les règles d’imposition qui lui seront appliquées. Ainsi, les revenus issus de la vente d’électricité à des opérateurs comme EDF OA doivent être déclarés comme des revenus non commerciaux, ce qui implique une certaine rigueur dans la gestion comptable.
Pour les installations dont la puissance est ≤ 3 kWc, il existe des conditions d’exonération qui permettent d’éviter une imposition. Cependant, lorsque les installations dépassent ce seuil ou ne remplissent pas les critères d’exonération, il convient d’adopter le régime des micro-entreprises. Ce régime permet un abattement forfaitaire, ce qui peut alléger considérablement la charge fiscale.
Par ailleurs, les producteurs doivent être attentifs à la manière dont ils déclarent leurs revenus. En effet, ceux-ci doivent être reportés dans la déclaration complémentaire de revenus dans la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Cette démarche nécessite de conserver soigneusement tous les relevés de production et factures d’achat d’électricité pour justifier les montants déclarés.
Enfin, il est conseillé aux producteurs d’électricité solaire de se tourner vers des experts fiscaux pour naviguer au mieux dans le cadre réglementaire complexe et en constante évolution. Une bonne préparation et une bonne connaissance des obligations fiscales peuvent faire une grande différence, tant sur le plan financier qu’en termes de conformité légale.
FAQ – Quelle fiscalité pour la vente d’électricité solaire
2. Quelles sont les options fiscales pour un particulier produisant de l’électricité solaire ? Pour les installations de puissance inférieure ou égale à 3 kWc, il n’y a pas d’imposition. Si la puissance dépasse 3 kWc, le particulier peut opter pour le régime de la Micro-Entreprise ou le régime réel simplifié.
3. Qu’en est-il de l’imposition pour les copropriétés ? Les copropriétés ne peuvent pas bénéficier d’exonérations fiscales, même si chaque copropriétaire déclare ses revenus selon sa quote-part.
4. Quelle imposition pour les entreprises produisant de l’électricité solaire ? Les entreprises sont soumises à l’impôt sur les sociétés, avec un taux normal de 28% pour un chiffre d’affaires jusqu’à 500 000 €, et 31% au-delà. Un taux réduit de 15% peut s’appliquer pour les premiers 38 120 € de chiffre d’affaires dans certaines conditions.
5. Quelles sont les exonérations fiscales pour les installations d’électricité solaire ? Il existe des exonérations pour les installations d’autoconsommation totale ou lorsque la puissance installée est inférieure à 100 kW.
6. Comment les revenus issus de la vente d’électricité solaire doivent-ils être déclarés ? Les revenus sont considérés comme des revenus non commerciaux et doivent être déclarés. Pour les installations dépassant 3 kWc, le régime de la Micro-BIC ou le régime réel s’applique.
7. Quel abattement s’applique aux revenus déclarés sous le régime Micro-BIC ? Un abattement forfaitaire de 71 % s’applique aux revenus inférieurs à 77 700 €/an.
8. Quelles sont les implications fiscales des revenus de vente d’électricité solaire ? Les revenus du surplus vendu sont imposables, à moins d’être exonérés selon certaines conditions. Il est conseillé de conserver les relevés de production et les factures d’achat d’électricité.
Vous êtes producteur d’électricité solaire et vous vous interrogez sur les règles fiscales qui s’appliquent à votre activité ? Ne laissez pas le voile de l’incertitude obscurcir votre projet ! Découvrez les modalités d’imposition, les exonérations possibles et les régimes fiscaux adaptés à votre situation.
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Témoignages sur la fiscalité pour la vente d’électricité solaire
Marie, productrice solaire: « Lorsque j’ai installé des panneaux photovoltaïques pour subvenir à mes besoins énergétiques et revendre le surplus, je me suis vite demandé comment cela allait impacter mes finances. Grâce à une bonne préparation, j’ai pu bénéficier d’une exonération d’impôts sur mes revenus, car ma puissance installée était inférieure à 3 kWc. Cela m’a permis de réaliser des économies substantielles, et je suis reconnaissante d’avoir pris le temps de m’informer sur le sujet. »
Jean, entrepreneur: « Mon installation dépasse 3 kWc, et je n’étais pas sûr de la façon dont je devais déclarer mes revenus dès que j’ai commencé à vendre de l’électricité. J’ai découvert que j’étais soumis au régime des micro-entreprises, ce qui signifie que mes revenus étaient imposés avec un abattement de 71 %. Ça a simplifié ma déclaration d’impôts, et je suis content de ne pas avoir eu de surprises financières à la fin de l’année. »
Sophie, exploitante agricole: « En intégrant la vente d’électricité à mon activité agricole, j’étais préoccupée par les implications fiscales. Heureusement, j’ai appris que les recettes pourraient être intégrées à mon bénéfice agricole sans dépasser 100 000 euros, ce qui m’a permis de profiter du régime réel. Ce soutien fiscal a été essentiel pour moi et pour la viabilité de mon exploitation. »
Thomas, investisseur dans l’énergie renouvelable: « En tant qu’investisseur, je voulais comprendre la Contribution Économique Territoriale. J’ai découvert que les panneaux photovoltaïques étaient exonérés de la partie foncière, ce qui est un atout considérable. Je suis heureux d’avoir fait ce choix, en sachant que je ne serais pas pénalisé financièrement sur mes biens. »
Claire, gestionnaire de copropriété: « Gérer des installations photovoltaïques au sein d’une copropriété peut être complexe, surtout en matière fiscale. chacun des copropriétaires doit déclarer ses revenus selon sa quote-part, mais cela peut créer des ambiguïtés. J’ai appris qu’il n’y a pas d’exonération possible, même si nous avons tous des installations individuelles. Cet aspect doit être clairement expliqué lors de l’installation pour éviter des incompréhensions. »


















